Née en 1981, je suis Caroline Capelle – photographe française, scénographe et curatrice, avant tout observatrice du vivant.

La photographie m’a trouvée en Irlande, et depuis, elle ne m’a plus quittée. Indépendante depuis plus de douze ans, je capture l’essence du monde à travers mon objectif, nourrie par une passion infinie pour l’art et le mouvement.

Avant de me consacrer pleinement à la photographie, j’ai exploré d’autres univers – la danse, la musique, puis la communication dans les médias. En 2013, une reconversion m’a guidée vers une quête artistique plus personnelle, où le mouvement est devenu le fil conducteur de mon existence et de ma démarche créative.

Mon travail s’articule autour de plusieurs axes :

* L’humain et son environnement : à travers la série « L’Individualité en Mouvement », j’explore nos déplacements comme métaphore des expériences de vie.

* L’identité et la métamorphose : dans « Substance Froide », je questionne la fluidité de l’être, notamment par l’autoportrait et au travers de la matière. Cette réflexion s’est intensifiée durant la pandémie avec la série « Impact du confinement ».

* La relation à la nature et aux déchets : plus récemment, « Nature, j’y crois encore » interroge la dégradation de notre environnement et cherche à transformer le détritus en matière créative.

Parallèlement, mon quotidien se partage entre reportages photographiques pour Nikon, recherches artistiques et collaborations – notamment avec le peintre et plasticien Damien Millet à Valence, où je mets mon regard et mon expertise au service de projets en mutation.

De 2016 à 2020, j’ai eu l’opportunité de fonder et diriger la Galerie NörKa, dédiée à « l’Art du Mouvement ». J’y ai présenté mes propres œuvres ainsi que celles d’artistes plasticiens, photographes, peintres et dessinateurs partageant ma vision, organisant une quinzaine d’expositions. Cette expérience a enrichi ma compréhension des dynamiques de création, de diffusion et de valorisation de l’art.

Aujourd’hui, mon travail reste en perpétuelle évolution. Chaque série est une nouvelle étape pour interroger la place de l’individu dans un monde en constante mutation.